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Comité de Soutien 74 aux primaires

Chers camarades

 

Le 05 août 2011, les militants et sypathisants Ségolènistes de Haute-Savoie se sont rassemblés autour de Claire DONZEL loyale et fidèle représentante de Ségolène ROYAL pour ce département.

 

Jean-Erick Gil et Jean-Claude BRIZION ont proposé de créer un comité de soutien pour les élections primaires citoyenne du 9 et 16 octobre prochain. Notre candidate sera très prochainement informée  de cette volonté militante,elle aura ainsi connaissance des premiers signataires.

 

un bureau exécutif à été proposé et accepté par l'ensemble des membres présents sont donc élus:            

 


  • Claire DONZEL                    Présidente  claire.donzel@free.fr         
  •  Tél: 06 77 16 11 06
  • Jean-Claude BRIZION  Vice-Président  jeanclaude 74300@neuf.fr   
  • Tél: 06 68 58 91 78
  • Jean-Erick     GIL                 Secrétaire       picetgil@libertysurf.fr   
  •   Tél:06 63 07 44 64   
  • André le-Noan         Secrétaire-adjoint     le-noan.andré@wanadoo.fr
  •   Tél: 06 66 09 18 26

En cette période estivale, il est volontairement indiqué le n° de téléphone mobile leurs titulaires sont également mobile.

 

Un compte-rendu est établi dans les jours qui suivent  la réunion du comité de soutien, pour le recevoir il faut être membre du comité de soutien, tu peux nous rejoindre à tous moments.

 

Prends connaissance de l'invitation  ci-dessous , après avoir rempli le formulaire,  nous t'invitons à le retourner à l'adresse indiquée aussitôt pour être convié à notre prochaine réunion.

 

 

 

 

Claire DONZEL

Conseillère régionale

1ère Secrétaire fédérale PS 74

 

+ 18 chemin des Cloches

74940 ANNECY le VIEUX

( 09 61 64 59 38

% 06 77 16 11 06

= claire.donzel@free.fr

Aux ségolènistes de Haute-Savoie

 

Annecy, le 27 juillet 2011

Cher-e camarade, cher-e ami-e,

 

 

Tu t’étais prononcé-e en faveur de la motion portée par Ségolène ROYAL lors du congrès de 2009 (ou as fait connaître, à un moment ou un autre, ton intérêt pour sa candidature). Aujourd’hui, c’est aux Primaires citoyennes organisées par le PS et ses partenaires qu’elle concourt, pour lesquelles j’ai eu l’honneur et le plaisir de lui apporter mon parrainage.

 

La campagne interne va être très courte. Aussi devrons-nous être en ordre de marche dès la rentrée pour lui apporter notre soutien et contribuer à ce qu’elle remporte ces Primaires. Pour cela, Jean-Claude BRIZION et Jean-Eric GIL prennent l’initiative d’une part de créer un Comité de soutien 74, d’autre part, de fédérer au cours de l’été les camarades et ami-e-s susceptibles de s’engager derrière Ségolène ROYAL.

 

Je t’invite donc à retourner dès que possible, si tu le souhaites, à Jean-Claude BRIZION (5 rue Claude Hugard 74300 CLUSES – jeanclaude74300@neuf.fr – ( 04 50 18 06 55 / 06 68 58 91 78) et à diffuser autour de toi le coupon-réponse ci-dessous.

 

 

Dans l’attente de te retrouver bientôt pour ce nouveau défi, je te prie d’agréer, cher-e camarade, cher-e ami-e, l’expression de mon dévouement socialiste.

 

 

 

 

Claire DONZEL

#------------------------------------------------------------------------------------------------------

A retourner à Jean-Claude BRIZION - 5 rue Claude Hugard 74300 CLUSES – jeanclaude74300@neuf.fr

 

Je soussigné-e …………………………………………………………………………………...

 

Adresse………………………………………………………………………………………….

 

Tél ….…………… / Portable………………… mel …………………………………………...

 

I_I souhaite                I_I ne souhaite pas figurer comme membre du Comité de soutien 74 à la candidature de Ségolène ROYAL aux Primaires citoyennes

 

I_I est disponible       I_I n’est pas disponible pour s’impliquer dans la campagne

 

 

 

Da Faucigny

Ce comité réunit les adhérents Désirs d'avenir et soutiens de Ségolène Royal dans la vallée de l'arve, le Faucigny et le Mont-Blanc.

Agenda Da Faucigny

Jeudi 28 juillet 2011 " Création d'un comité de Campagne Haute-Savoie"

26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 21:59

 

Je suis heureux de vous présenter la copie de ces 2 moments fort à mon sens,d'autant lorsque l'on reste soutien de Madame Segolène ROYAL

Sincères amitiés

Jean-Claude BRIZION

 

Cher-e-s ami-e-s,

Nous avons le plaisir de vous adresser l'interview de Ségolène Royal paru dans le Parisien ainsi que le texte intégral de son intervention dimanche dernier dans BFM Politique .


Amitiés

L'équipe de Désirs d'Avenir



Interview au Parisien


 

 

 

 

Près de 8 Français sur 10 considèrent que les politiques ne sont pas courageux. Etes-vous d'accord ? 

 

 

SEGOLENE ROYAL. Ce sondage intervient dans un contexte où la crise et les secousses de toute nature font douter de l'efficacité de l'action politique. Il confirme que le courage est pour les Français une vertu majeure en politique. Savoir prendre des décisions difficiles, au risque de n'être pas entendu par tous. Avoir le courage d'oser des réponses neuves quand les anciennes ne fonctionnent plus. 

 


Comme vous, par exemple ? 

 

 

Je n'aurais pas cette prétention mais on a souvent dit qu'en 2007, j'étais trop en avance sur l'époque. La France n'était pas encore prête à imaginer une femme Présidente de la République, même si des pays d'Amérique latine avaient déjà anticipé ce mouvement. Et puis, je défendais un certain nombre d'idées qui étaient anti-conformistes dans mon camp politique et qui ont, depuis, fait leur chemin : la sécurité, l'ordre juste, la Nation... Quand j'ai revendiqué, au nom de la gauche, le drapeau français à Marseille, j'ai été très durement critiquée par mes amis politiques. Pourtant, c'était courageux de le faire. Je savais que j'allais à contre-courant de l'idéologie dominante à gauche mais je sentais que j'étais en phase avec l'Histoire, avec ce qu'attendaient les Français, très attachés à la nation et à ses symboles républicains. Le courage, c'est aussi de rompre avec les conformismes de sa famille politique. 

 


Faut-il plus de courage à une femme qu'à un homme pour s'engager en politique ? 

 

 


Évidemment, oui. Ce qui est difficile, c'est d'assumer la durée de la vie politique. Il faut se relever à chaque fois que l'on trébuche. Le courage c'est, comme le disait Jaurès, de « ne pas livrer sa volonté au hasard des impressions », de garder le cœur chaud et la tête froide, de ne pas lâcher son cap à la première déconvenue tout en ayant la lucidité de tirer les leçons des échecs. 

 


Avez-vous connu des moments de découragement ? 

 

 


Non, jamais. Il en faut plus pour m'abattre ! J'ai connu des chocs violents, encaissé des coups. Je suis tombée, je me suis posée des questions sur le sens de mon engagement, je me suis fait mal, je suis parfois restée un moment dans un état de stupéfaction, mais je n'ai jamais été découragée. Le courage en politique, c'est aussi de garder une part de gaieté dans l'adversité comme le recommandait Stéphane Hessel qui y voyait « la forme la plus aimable du courage ». 

 


De Nathalie Kosciusko-Morizet et Rachida Dati à Cécilia Attias, les femmes de droite sont nombreuses à avoir salué votre courage. Y êtes-vous sensible ? 

 

 


Bien sûr. Ce n'est pas un hasard si ce sont des femmes qui le disent. Elles savent les obstacles, les contraintes, les épreuves, les dénigrements que les femmes doivent surmonter dans la vie politique. Elles ne disent pas, comme certains hommes : « Sa candidature à la présidentielle était le produit des sondages ; elle est arrivée là par hasard... » 

 


Nicolas Sarkozy est, aux yeux des Français, le président le plus courageux de ces 30 dernières années. Etes-vous d'accord ? 

 

 


Ce n'est pas une qualité qui vient spontanément à l'esprit le concernant. Ce n'est pas parce qu'on est énergique qu'on est courageux. Le monde a subi, en 2008, la crise financière la plus violente qui ait existé depuis 1929, et qu'a fait Nicolas Sarkozy ? Il a renfloué les banques sans leur demander aucune contrepartie. Il aurait dû avoir le courage de dire aux banquiers : l'Etat vous remet à flot mais, en échange, il va entrer au capital des banques et nous allons dissocier les activités spéculatives des activités de prêt. Il ne l'a pas fait. Il a été complaisant face aux forces de l'argent. Il a manqué de discernement au moment le plus favorable pour imposer d'autres règles du jeu aux responsables de la crise. C'est une occasion ratée dont nous payons encore le prix. 

 


Et François Hollande, est-il courageux ? 

 

 


L'intervention au Mali est une décision courageuse. Tout comme les menaces de représailles à l'encontre de Bachar el-Assad après son utilisation des armes chimiques dans le conflit syrien. Ce n'est pas parce qu'on est isolé sur la scène internationale que l'on a tort ! L'histoire lui rendra justice, vous verrez, car c'est son initiative qui a fait bouger la diplomatie, qui a permis d'éviter la guerre, et rendu impossible une nouvelle attaque chimique. 

 


Quelles décisions courageuses faudrait-il prendre aujourd'hui ? 

 

 


Par exemple, fusionner les départements avec les régions afin de supprimer les doublons et de dépenser moins en dépensant plus efficacement. Ce serait aussi d'appliquer dès maintenant, sans attendre 2017, le non-cumul des mandats. Ce serait également d'aller au bout de la réforme bancaire dont la première étape a été réalisée. Le courage c'est de prendre le risque d'être toujours aux côtés de celles et ceux qui ne baissent pas les bras :

 

- entrepreneurs qui innovent et se battent, 

- ouvrières et ouvriers qui défendent leur savoir faire et leur outil de travail, 

- familles qui ne transigent pas sur le devoir d'éduquer,

- enseignants qui ne tiennent pas le droit au savoir pour un privilège de la naissance,

- jeunes dont le désir d'avenir doit être un guide pour l'action.

 

 


Vous citez, dans votre livre, une quinzaine de personnalités qui vous inspirent du courage. Si vous deviez n'en retenir qu'une...

 

 


La personne qui incarne le courage sous toutes ses formes -physique, psychologique, politique, historique-, c'est Nelson Mandela. Lui-même, pourtant, n'estimait pas être particulièrement courageux. Mais, alors qu'il aurait pu être libéré au bout de quinze ans de captivité en échange du renoncement à son combat politique, il a trouvé la force de dire non. Il a eu ce courage exceptionnel de sacrifier sa vie de famille et sa liberté pour une cause collective, une cause qu'il estimait plus grande que lui. Je crois, comme lui, qu'on ne naît pas courageux mais que l'on peut, lorsque les circonstances historiques l'exigent, se dépasser soi-même et faire preuve d'un courage dont on ne se savait pas capable.

 


Vous-même, peut-être ?

 

 


Je ne pourrais pas sacrifier ma famille. Je suis mère de famille avant d'être femme politique et j'ai toujours lutté pour concilier les deux. C'est aussi une forme de courage : il faut savoir équilibrer sa vie, à condition que les circonstances le permettent, pour ne pas sacrifier les siens à son engagement politique. Il faut avoir comme disait Rudyard Kipling dont on ne se lasse pas de relire le texte magnifique que je mets en ouverture de mon livre, il faut avoir le courage « d'être fort sans cesser d'être tendre ».

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Le saviez-vous ?

  •  l'incompétence, n'est pas là où on le dit ...

 

  • Ségoléne Royal a déclaré qu'il n'était pas utile d'attendre une loi pour
  • appliquer cette mesure;

  • Réponse du député UMP téléguidé par Sarkozy: il conseille
  •  à Mme Royal de relire la constitution.

  • Réponse de S Royal: il existe un article de 1945 qui exprime
  • clairement que les mineurs en prise avec la justice peuvent être
  • pris en charge dans des établissements "agréés".


  • Qui est incompétent ?